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FAQ

Émilia JVH Z compétition amateur

Vague de Karluc compétition club

Questions / Réponses

Vous n’aurez pas besoin. 

Progressivement, nous essayons de nous faire connaitre et sensibiliser tous les jurys à cette démarche.

Oui.

Il existe une différence entre :

  • une pression supprimée dès que le cheval donne la bonne réponse (+ de mouvement en avant) = renforcement négatif.
  • la punition qui a pour but de faire disparaitre un comportement non désiré.

Nous pensons que la punition avec une cravache ou des éperons n’est pas admissible car souvent disproportionnée et mal venue en compétition par des cavaliers sous pression.

 

La démarche vient uniquement des cavaliers, de nous ! 

Quel que soit le concours auquel vous participez, en CSO ou dressage, vous pouvez être Jump ou Dress Ethique 🙂

a – Vous remplissez et envoyez votre dossier cavalier.

b – Vous validez votre dossier en adhérant à l’association pour 10€.

c – A votre première remise des prix, vous nous envoyez un mail pour recevoir votre tapis Jump Ethique.

Attention : sous une autre condition :

  • Avoir publié sur vos réseaux les photos de votre cheval en concours et dans sa vrai vie !!

Exemple :

#Jumpethique

#FriendsFoodFreedom

Questions d'ordre général

Bien au contraire, nous pensons que la meilleure réponse aux courants animalistes sera une réponse imaginée, adaptée et formulée par et pour les cavaliers et les professionnels de la filière.

Ce projet permet d’assumer nos responsabilités de cavalier par une réelle prise en compte des apports toujours plus nombreux de l’éthologie équine qui est une science et non un courant de pensée.

Il nous apparait aujourd’hui impossible de fermer les yeux et de ne pas s’engager vers une réflexion quant à l’évolution de nos pratiques dans le sens du bien-être équin. Il est nécessaire de favoriser une contribution collective de la filière sur la question.

NOUS PENSONS QUE  la prise en compte du bien-être animal est incontournable mais qu’elle doit être l’œuvre collective des acteurs de la filière, il en va de l’avenir de notre passion et de notre sport.

Nous sommes une association indépendante, rattachée ou affiliée à aucun autre mouvement.

Nous faisons le constat que les idées du courant animaliste égrènent auprès du grand public qui commence à questionner les pratiques de la filière que ce soit en club ou en compétition.

Nous faisons également le constat que l’histoire de l’équitation depuis l’Antiquité montre une évolution permanente des pratiques en réponse au contexte historique et politique dans lequel elle s’inscrit.

NOUS PENSONS QU’UN nouveau chapitre de l’histoire de l’équitation plus attentif au bien-être est en train de s’écrire et que cela ne doit pas se faire au détriment ni des animaux, ni de la filière, ni de notre sport, mais AVEC L’ENSEMBLE DES ACTEURS.

Questions / Réponses

Il s’agit d’auto-contrôle dans la mesure ou chaque engagé attestera sur l’honneur de son respect des critères du bien-être à domicile. 

Sensibiliser et amener le plus grand nombre à réfléchir collectivement au bien-être de nos équidés en compétition ne se décrète pas. 

NOUS PENSONS QUE le bien-être équin doit devenir un outil de valorisation du travail tout comme la qualité de l’entrainement, cela doit passer par le renforcement positif et non par la sanction !

Nous avons volontairement mis des conditions de participation à ces épreuves.

Nous savons que réglementairement elles restent cependant ouvertes à tous car seule la FFE peut y limiter les engagements.

NOUS PENSONS QU’IL convient de fixer un socle de base sauf à manquer de légitimité. Notre souhait reste l’engagement éthique, la démarche personnelle, mais quoi qu’il en soit l’objectif est d’engager le dialogue, d’interroger nos pratiques respectives.

Accroitre le niveau d’exigence induirait de devenir un concours « sélectif et hors norme ». Il ne s’agit pas de développer un circuit ou seuls seraient admis à concourir les cavaliers qui mènent déjà une réflexion sur la question dans leurs écuries. 

Au contraire, NOUS PENSONS QUE notre objectif est de sensibiliser pour rallier le plus grand nombre d’acteurs. A terme les critères pourraient être renforcés mais pour l’instant, encore faut-il que chacun soit en mesure d’apporter ce type de confort à ses équidés. GRILLE JUMP ETHIQUE

Il convient d’apprécier les critères de manière cumulative. Les prendre isolément ne permet pas de déterminer si l’animal est dans une situation de mal-être. 

Notre objectif est de sensibiliser au bien-être équin qui doit constituer une approche globale.  Un fouaillement de queue pris isolément n’est pas en soi un critère de mal-être.  Mais il doit constituer pour tout cavalier un signe reconnaissable, une source d’information à contextualiser dans le quotidien de l’animal 

NOUS PENSONS QUE la sensibilisation ne passe pas par la simplification sauf à tomber dans des écueils et des excès. les panneaux présents sur le site traiteront de ces sujets également. GRILLE JUMP ETHIQUE

Nous prenons comme support de base la charte du bien-être Equin et son guide de bonnes pratiques. Les questions qui nous tiennent à coeur découlent naturellement des quatre grands principes du bien-être animal avec un souhait tout particulier à influer progressivement sur les conditions de vie et l’alimentation.

NOUS PENSONS QUE des efforts ont été déployés par les instances fédérales et l’ensemble de la filière mais qu’il convient désormais de déployer et mettre en oeuvre les règles existantes de manière concrète dans l’ensemble de nos activités. GRILLE JUMP ETHIQUE

Bien au contraire, nous pensons que la meilleure réponse aux courants animalistes sera une réponse imaginée, adaptée et formulée par et pour les cavaliers et les professionnels de la filière. 

Ce projet permet d’assumer nos responsabilités de cavalier par une réelle prise en compte des apports toujours plus nombreux de l’éthologie équine qui est une science et non un courant de pensée.

Il nous apparait aujourd’hui impossible de fermer les yeux et de ne pas s’engager vers une réflexion quant à l’évolution de nos pratiques dans le sens du bien-être équin. Il est nécessaire de favoriser une contribution collective de la filière sur la question. Les concours Jump éthique sont un premier pas. 

 NOUS PENSONS QUE la prise en compte du bien-être animal est incontournable mais qu’elle doit être l’œuvre collective des acteurs de la filière, il en va de l’avenir de notre passion et de notre sport. 

Nous sommes une association indépendante, rattachée ou affiliée à aucun autre mouvement.

Nous faisons le constat que les idées du courant animaliste égrènent auprès du grand public qui commence à questionner les pratiques de la filière que ce soit en club ou en compétition. 

Nous faisons également le constat que l’histoire de l’équitation depuis l’Antiquité montre une évolution permanente des pratiques en réponse au contexte historique et politique dans lequel elle s’inscrit.

NOUS PENSONS QU’UN nouveau chapitre de l’histoire de l’équitation plus attentif au bien-être est en train de s’écrire et que cela ne doit pas se faire au détriment ni des animaux, ni de la filière, ni de notre sport, mais AVEC L’ENSEMBLE DES ACTEURS. 

Nous aurions facilement eu envie de les interdire en premier lieu.

Cependant nous sommes cavaliers et savons que leur simple présence peut participer à la finesse de l’équitation.

Des aides artificielles qui peuvent être positives , éducatives et respectables.

Bien entendu, et nous en avons tous conscience, tout usage excessif d’une aide est critiquable en soi. D’ailleurs, les excès d’utilisation sont déjà disqualifiants dans les règlements des épreuves. Notre analyse portera sur l’utilisation ou non de ces aides durant les épreuves. 

NOUS PENSONS QUE la présence de la cravache et des éperons font partie, au même titre selon nous, que le choix de l’embouchure ou de la muserolle, de matériel pour lequel le débat doit être ouvert.  

Non, par principe les conditions d’engagement en concours sont fixées par la FFE. Tout couple peut donc s’engager aux épreuves Jump’éthique via le portail engager de la FFE, dans les mêmes conditions que d’habitude.

Le jour de l’épreuve, il sera cependant demandé au cavalier en entrant au paddock de se présenter auprès du Commissaire au paddock et d’attester sur l’honneur du respect de deux conditions cumulatives :
– une condition liée à l’hébergement : des sorties libres au paddock/pré quotidiennes avec contacts sociaux privilégiés
– une condition liée à l’alimentation et consistant à un accès aux fibres à volonté (à minima 3/4 du temps sur 24h)

L’engagement moral pris par le cavalier en attestant du respect de ces deux conditions est la première condition permettant d’accéder en cas de classement à l’issue de l’épreuve à la sur dotation.

Les épreuves Jump éthique sont surdotées. Mais l’accès à cette surdotation est soumise au respect de trois exigences cumulatives :

– avoir rempli la déclaration sur l’honneur attestant du respect des conditions d’hébergement et d’alimentation fixées par Jump éthique auprès du Commissaire au paddock lors de la détente;
– être classé à l’issue de l’épreuve;
– disposer d’une notation exemplaire au regard des exigences de la grille jump éthique à savoir : un grille exclusivement remplie de smileys souriants.