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A propos

Sangdiu de Kergane et son cavalier Manolis

Jump Éthique

L'IDEE ?

Faire de la bientraitance animal une éxigence éthique du cavalier du sport. Promouvoir les bonnes pratiques, sensibiliser, inciter, en se basant sur les dernières connaissances en éthologie scientifique.

 

Pourquoi ?

Nous assistons aujourd’hui à un large questionnement du bien-être animal qui va encore monter en puissance dans les années qui viennent. Ce projet permet d’assumer nos responsabilités de cavalier par une réelle prise en compte des apports toujours plus nombreux de l’éthologie équine. Nous savons tous, au-delà de la pression sociétale croissante, que nous avons encore des progrès à faire, que nous pouvons encore faire mieux, faire plus adapté, faire plus respectueux.

Comment ?

Par le canal médiatique des compétitions, renforcer positivement l’engagement éthique. Chaque cavalier peut devenir un cavalier jump éthique s’il répond aux exigences de bientraitance demandées en se basant sur les grands principes du bien-être animal désormais connus et reconnus. 

QUELLES EXIGENCES ETHIQUES ?

Nous prenons comme support de base la charte du bien-être Equin et son guide de bonnes pratiques. Les questions qui nous tiennent à cœur découlent naturellement des quatre grands principes du bien-être animal avec un souhait tout particulier pour influer progressivement sur les conditions de vie et l’alimentation.

Nous appelons donc à un engagement éthique personnel responsable sur ces points :

Hébergement

Des sorties libres au pré / paddock quotidiennes avec contacts sociaux privilégiés.

Alimentation

Un accès aux fibres à volonté (herbe/ foin).

Santé et comportement

Nous appelons bien entendu à une équitation raisonnée et respectueuse.

Les cavaliers s’engagent à respecter les points du dossier jump éthique (cf saison 2023).

Nous les invitons également à ne pas faire concourir leur cheval dans un trop grand nombre de parcours dans l’année ou encore à ne pas concourir sous trop forte chaleurs.

Jumpethique

Les premiers pas de Jump Ethique

2021 : Les débuts

Nous proposions des épreuves jump éthique avec ce principe :

Une grille à respecter, une déclaration sur l’honneur

Des retours positifs malgré des inquiétudes de départ, mais un concept difficile à multiplier et à diffuser sur tout le territoire.

Retour sur l’évènement de Barbaste, mai 2021

Conférences mises en image :

2022 : l’évolution

Chaque cavalier individuellement peut devenir un cavalier Jump Ethique partout en France.

Vous n’êtes pas cavalier de compétition ?

Vous pouvez quand même devenir un cavalier Jump ou Dress Ethique, recevoir votre pin’s et ainsi nous aider à faire grossir le mouvement #jumpethique.

Nous proposons aujourd’hui aux cavaliers une démarche individuelle et responsable sur toutes les épreuves de nos futurs pôles partenaires. (cf saison 2022)

La liste des pôles sera publiée au fur et à mesure, n’hésitez pas à nous contacter si vous voulez devenir cavalier Jump éthique nous vous indiquerons les pôles partenaires dans vos régions.

Vous souhaitez nous aider dans cette aventure ?
Contactez nous par mail :

Vous êtes non cavalier mais soucieux du bien-être équin ? Devenez membre bienfaiteur pour nous aider à sensibiliser… Pour Tonnerre, Roméo, Caramel, Terminator Z et les autres…

Jump éthique, un projet inspirant et inspiré...

Pour Axel Kahn, scientifique, médecin, généticien et essayiste français : « l’éthique est une interrogation sur « la vie bonne et les valeurs qui la fondent ». Elle est périple intérieur, voyage au fond de soi, passionnant et insatisfait, aventure dévorante et nécessairement inaboutie ».

Cavalier et passionné de chevaux, il est a l’origine du Diplôme d’Université « éthique, bien être et droit du cheval » qui nous a inspiré ce projet.

Passionnés nous le sommes tous.
Dévorés par cette relation avec le cheval,
c’est pour le moins admis.

Insatisfaits, c’est certain.
Interrogés, c’est nécessaire.
 

L’interrogation sur la vie bonne signifie la pensée, la réflexion sur le but à atteindre mais également et surtout, les actions qu’il convient d’entreprendre pour tenter de suivre cette « vie bonne », ce chemin correct.

Plus précisément « que convient il de faire lorsque la réponse n’est pas uniquement déterminée par l’intérêt que l’on peut y trouver ? »

L’éthique est un besoin.

La recherche en éthologie équine progresse considérablement ces dernières années. les études sont nombreuses, les résultats concrets et de plus en plus édifiants.
Il est de notre devoir de ne pas les ignorer et de les prendre en compte afin de nous adapter et d’évoluer au regard de ces nouvelles connaissances pour tenter de trouver le chemin correct.

Parallèlement au progrès scientifique, nous assistons depuis plusieurs années à l’arrivée d’un mouvement « Animaliste » qui en réalité est bien plus large et porté chaque jour d’avantage par le grand public .

Ce mouvement, cette vague, nous questionne. Elle questionne nos pratiques, notre empirisme.
La crise sanitaire démarrée au printemps 2020 a fait croitre de façon exponentielle les sujets d’éthique animale. Combien d’articles, tribunes et autres billets d’humeurs se sont multipliés et se multiplient encore sur les réseaux sociaux et autres médias.
L’opinion publique est de plus en plus préoccupée par l’utilisation d’animaux pour le divertissement et particulièrement par le bien être des chevaux dans le sport et le spectacle.

Il est plus qu’important d’améliorer l’acceptabilité sociale des sports équestre pour que ceux ci survivent dans le futur.
Les progrès que nous avons encore à faire sont conséquents.

Les enjeux sont multiples, ils sont sanitaires, économiques, sociétaux, sécuritaires mais également liés à la performance.
Nous avons décliné le symbole de l’équilibre chimique pour notre logo. Les doubles flèches montrent qu’un système est à l’équilibre.

Travaillons sur cet équilibre, sur des relations réellement mutuellement bénéfique.